CAPITAINE IBRAHIM TRAORÉ, PRÉSIDENT DE LA TRANSITION AU BURKINA RÉPOND :
« Si après 63 ans d'indépendance l'aide financière et l'appui budgétaire de la FRANCE n'ont pas permis au BURKINA FASO de se développer alors qu'on les recevait chaque année, je ne crois pas que leur absence puisse nous être fatale, au contraire leur absence va nous mettre au travail.»
