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BONJOUR A TOUS
SOUTIENS A SAMUEL ETO'OO
*ENFIN, ILS ONT AVOUÉ* . . .
par *Mbombog Bakang ba Tonjé*.
Oui, ils ont spontanément craché le morceau.
La vérité est qu'ils attaquent et dénigrent Eto'o parce qu'ils le redoutent. Ils en ont très peur. Ils ont peur de sa vision, de son dynamisme, de son courage, de sa droiture, de son efficacité, de son intelligence et de sa popularité. Ils ont peur qu'il remporte l'élection présidentielle comme Geoge Weya au Liberia, s'il venait à présenter sa candidature. Cette perspective redoutée leur donne des insomnies et des cauchemars.
*Voici pourquoi ils paniquent* :
En 18 mois à peine, l'action fulgurante d'Eto'o a mis fin à la gabegie à la Fecafoot; elle a instauré une gestion transparente ; elle a remis le football camerounais sur les rails.
Effectivement, le football revit au Cameroun dans tous les coins du pays et dans tous ses compartiments : professionnels, amateurs, seniors, femmes, handicapés .. . etc. Les clubs font des efforts pour être mieux gérés, gérés de façon transparente, les joueurs professionnels et les agents d'encadrement sont bien payés, assurés, affiliés à la CNPS, les stades se remplissent à nouveau . . . du jamais vu depuis des lustres.
Certes, rien n'est parfait. Il y a encore du pain sur la planche.
Le monde du football, aussi bien camerounais qu'international est agréablement surpris. Les éloges pleuvent de toutes parts. La jeunesse camerounaise applaudit des deux mains. Elle a de nouveau la motivation pour s'engager dans les clubs nationaux. Notre championat d'élite travaille d'arrache pied pour retrouver le top niveau africain.
Au sein de la jeunesse, la popularité d'Eto'o est au zenith.
Les Camerounais en général, plutôt sceptiques d'habitude, semblent satisfaits et disent à Eto'o *«merci, félicitations* *bénédictions, vas toujours de l'avant . . . fils*».
Ils se prennent même à rêver qu'une action salvatrice analogue puisse aussi, un jour, mettre fin à la gabegie et à l'obscurité qui caractérisent la gestion de notre pays au plus haut niveau et qui l'ont plongé dans les abîmes où il croupit actuellement. En moins de cinq ans, notre pays changerait du tout au tout, renouerait avec le vrai développement, éclaircirait l'horizon de la jeunesse et retrouverait la respectabilité internationale.
C'est ce rêve qui fait peur aux personnes de peu de mérite qui, autour du président de la République, profitent de son état actuel pour se nourrir avidement et en toute impunité sur la dépouille de notre pays.
Ce sont ces personnes qui polluent de leurs déjections nauséabondes le champ médiatique de notre pays pour à la fois tenter de couvrir le bruit assourdissant des casseroles qu'ils traînent, salir l'actuel président de la Fecafoot, amoindrir sa popularité et finalement entraver son oeuvre en faussant délibérément la perception de son action dans l'opinion. Ils ont longtemps fait semblant de ne s'attaquer qu'à la gestion pourtant transparente d'Eto'o pour mieux dissimuler leurs objectifs politiciens inavouables. Aujourd'hui, ils s'en prennent à la personne même d'Eto'o, qui pourtant est aussi le fils de quelqu'un.
Ils risquent de s'en mordre les doigts.
Eto'o ne leur répond pas, et il a raison. Il ne va pas gaspiller ses munitions sur la merde des hyènes et des chacals. Il attendra que les charognards eux-mêmes se débusquent du bois où ils se terrent encore, pour leur asséner la réplique qu'ils méritent.
Chacun n'a qu'à bien se tenir.
Pour l'heure, le champs est libre pour les journalistes et autres intellectuels à gages, devenus chasseurs de primes. A mon avis, ils n'ont pas de quoi en être fiers. Au contraire. Mais c'est leur choix et c'est dommage.
En attendant, et comme on dit vulgairement, Eto'o va sauf que faire son travail, remplir sa mission en poursuivant son oeuvre dans l'intérêt du football camerounais et du Cameroun en général, jusqu'à la fin de son mandat.
Le moment venu, à la fin de leur contrat, la Fecafoot et Eto'o lui-même prendront leurs décisions en toute responsabilité.
Les Camerounais ne sont plus ni naïfs, ni dupes.
*Mbombog Bakang ba Tonjé*
Makak le 26 juillet 2023.